À Christophe Guyard.
Lorsque les loups vont en vadrouille,
C’est alors que je me dérouille
Et que la nuit m’accueille en elle
Comme un refuge en éternel.
J’ai tout le temps pour les saluer
Ces compagnons, loin des nuées
Du populaire; ces solitaires,
Eux et moi seuls sur cette terre.
Le 29 juillet 2025.
C.B.