Une fois, toute seule, elle apparaît le long des rues,
Elle apparaît, ou bien encore elle apparut.
Tant il semble qu’avec elle tous les temps se mélange,
À fabriquer l’ailleurs sous le regard de l’ange.
Sous le regard de l’ange où se rangent les fantômes
Qu’elle remet comme ses frères, partageant leurs atomes.
Après ma découverte de sa réelle nature,
Je me vois préparé à jouer l’aventure….
Je ne me vis pas seul, tel qu’on y est contraint
Perdu de solitude, et tous les autres contre un.
Je me sens du partage où l’on va à chacun,
Capable de dévoiler, l’histoire des Péloquins.
Je ne me vante pas quand je dis que je puis
De la vie de ses autres me trouver à l’appui.
Grâce à elle, mon fantôme, je peux en raconter
Du fruit de leur passé sans y rien ajouter.
L’aventure de leur âme suffit à mon bonheur,
Et je leur fixe rencard, sans tarder, de bonne heure.
Je les connais de près à ceci qu’ils sont proches,
De ma réalité devenue leur approche.
Le 29 avril 2025.
C.B.