Voilà un sentiment surprenant que j’aime davantage les êtres une fois morts, que vivants. Faut-il les tuer pour ça ? Ce que je veux dire, c’est que souvent l’on s’aperçoit qu’on les aime, à condition qu’ils nous manquent. Or cela, point de révélation.
Le 29 octobre 2024.
C.B.