Il me faut, en la nuit de toi m’envelopper,
Afin d’y retrouver de ta vie l’épopée,
De tout ce qui fut toi, au contact de mes jours,
De tout ce que tu fus, le long de ton séjour.
Il me faut te parler, sans crainte de t’importer
Au cœur de ce chagrin où je suis invité.
Le 8 septembre 2024.
C.B.