Parti à l’aventure sur des sentes errantes,
Je n’ai pour tout bagage qu’une ombre désespérante.
Il ne m’en faut pas moins pour me galvaniser,
Et pour me donner goût d’une nuit m’organiser.
Je vais me promener au sein de la nuit noire
Comme si je possédais pour maison un manoir.
Et que de celui-ci je sonde l’éternité,
Avec mes heures dédiées aux vieux murs habités.
Le 4 février 2025.
C.B.