Seul, en aparté

Je vous jure que je l’ai vu, par toutes les bouches de l’horreur. Je l’ai vu seul, en aparté, si je puis dire. La maison est habitée par d’autres pourtant. Mais je me lève la nuit pour aller boire de la flotte au robico, et le voilà qui m’apparaît, entre les ombres et au silence de sa présence. Je ne crie pas ! Je le regarde, sans me signer, et je le sais qui est en moi, sans que je puisse l’exprimer.

Le 15 mars 2024.
C.B.

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