Elle me vient visiter souvent, la mort de vivre, et son cortège de sensations les plus diverses. La mort de vivre est mon commerce. Je voudrais bien y échapper, mais elle se dérobe à toute étude de son portrait afin de mieux l’identifier. La mort de vivre cherche après moi entre les ombres du mystère. La mort de vivre, je la rencontre en bien des points de mon errance, attachée à creuser l’absence.
Le 1er avril 2022.
C.B.