Où que je pose le pas ma tristesse se love, comme si elle logeait là des pans de mon histoire, qui se ramènent à la surface pour me raconter…. Elle me précède sans me presser, tel un fantôme de ma présence…. Ma tristesse se répand comme le sang de l’âme, comme si celui-ci répondait à des réserves inépuisables. Comme s’il me traversait en un Styx dont les sources demeurent insondables.
Le 28 juin 2025.
C.B.