Au travers de vos oeuvres complètes ; je puis vous rencontrer ; parce que toutes vos heures dormies y contribuent comme un réel travail de veille. Vous composez de vrais romans avec des descriptions entrecoupées de dialogues qui nouent les rebondissements les uns aux autres. C’est de ce repos habité que je m’inspire pour méditer moi-même toute ma prose. Je sais de vous tous les secrets de ces longues pauses où croît l’ailleurs. Pour profiter encore de vous, je me coule à vous écouter là où les songes se ronronnent.
Le 4 juin 2021. C.B.