Le comble de l’épouvante se situe en le lavoir de Fermanville. De l’œil exercé d‘une muse je l’ai appris, un soir, au bord des eaux stagnantes et moussues. Si vous bavez au creux de ce trou indigne des ruines abandonnées de l’inspiration, il naît une réaction de gaz échappés de toute expression. Le sondage de ces ondes relève du voyage à travers la fange, enfantées par le Styx dont elles sont la résurgence ignoble. Caressez avec moi l’espoir de vous y soustraire.
Le 17 Octobre 2017. C.B.