II Où l’éclairage cherche son nid en les élans de l’agonie de la nature sombrant au fangeux, je suis la pousse de son ivresse à la preuve de ma tendresse. Je suis le semeur de caresses sous le regard de la cafarde. Ces caresses dont l’absence se farde. J’ai une fièvre particulière pour ces instants de solitude aggravés de semées boueuses, comme la bave aux lèvres de la nuit. C’est son génie qui vogue au pire. Quand on est proche d’eux les coins reculés, on y atteint à son génie, au vrai visage d’où elle embrasse par les rayons de sa détresse.
Le 6 mars 2018. C.B.