Tout est en ruine satinée d’humide moussu. Gagné par l’onde sombre de l’étang. Tout craque de somnolence active, et à Mathilde et à moi l’idée nous vient que ça relaie la voix entendue. L’on en cause à nouveau et voici notre plan : interpeller notre hôte. A quel moment ? En dehors des repas on ne le croise guère. Il semble disparu de la vie de l’endroit par séquences… Impossible à nous de le trouver. Et ça n’est qu’au terme de plusieurs heures de traque pour ainsi dire qu’on le repère enfin, passamment en nage.
Le 12 janvier 2014.
C.B.